Au cours de ce conseil, le groupe CIMéT est intervenu sur 4 délibérations importantes :
- Divers dispositifs d’insertion (Plateforme mobilité emploi insertion et Politique d’achat socialement responsable) : Marylène MILLET a rappelé l’intérêt de ces dispositifs d’insertion et les conditions d’élaboration du Programme Métropolitain d’insertion et d’Emploi (PMIE) qui définira la stratégie de la Métropole en la matière pour la période 2016-2020. Par une approche résolument partenariale, s’appuyant sur l’expertise des acteurs du territoire, l’ambition du groupe CIMéT est de donner un nouvel élan à la politique d’insertion.
- Tourisme – Taxe de séjour : Fouziya BOUZERDA est intervenue pour souligner l’importance du tourisme pour l’économie métropolitaine et la nécessité d’avoir une approche pragmatique en ce qui concerne les nouvelles pratiques en matière de tourisme. Ces évolutions, comme le développement des plateformes de locations entre particuliers, doivent être accompagnées et encadrées. Cela permettra de rétablir l’équité fiscale, tout en facilitant la lutte contre les activités non déclarées, ainsi que la collecte de recettes supplémentaires pour intensifier et accompagner le développement de l’attractivité de notre collectivité.
- Service commun sur l’université : Carole BURILLON est intervenue en soutien au principe de mutualisation des services de la Métropole de Lyon et de la ville de Lyon relativement à la politique universitaire. Cette initiative va dans le bon sens : une plus grande efficience, lisibilité et cohérence de l’action publique et le renforcement des moyens d’action de la Métropole au service de la vie étudiante
- Contrat de plan Etat-Région (CPER) 2016-2020 : Pour Fouziya BOUZERDA, la Région Rhône alpes et la Métropole de Lyon doivent agir de concert sur un très large éventail de politiques publiques. Le CPER, via sa déclinaison sur le territoire de la Métropole, permet de mobiliser nos deux collectivités autour de projets communs territoriaux et nous préserve des conséquences d’une trop forte baisse des dotations étatiques qui représente un manque à gagner d’1 milliard d’euros sur le mandat.